ARTICLE 11/41 🕯️ "Tomino’s Hell : Saison 2"

Publié le 14 septembre 2025 à 12:34

Une Saison 2 Pour Une Fin Grandiose . hmmm et siiii  non oublier ......

🕯️ Synopsis – "Tomino’s Hell : Saison 2"

Sept ans ont passé.
Julien et Élodie ne sont plus des enfants. Pourtant, chaque année, à la même date, ils ressentent le même malaise, comme si quelque chose rôdait encore dans l’ombre. Cette année-là, le cauchemar recommence… mais d’une façon plus terrifiante que jamais.

Tout bascule lors d’une nuit sanglante où Julien perd le contrôle et massacre ses parents dans leur sommeil, poussé par une force invisible. Élodie, témoin de la scène, comprend que son frère n’est plus vraiment lui-même. Quelque chose habite son corps.

Alors que Julien sombre dans une folie meurtrière, Élodie découvre d’anciens carnets cachés dans la maison familiale : des notes mystérieuses parlant de Tomino, de rituels occultes et d’un moyen d’exorciser cette présence. Mais chaque page qu’elle déchiffre rapproche un peu plus la créature d’elle…

La chasse commence.
La maison devient un labyrinthe de peur, un théâtre d’ombres où le frère possédé traque sa sœur. Jusqu’au grenier, où se cache un autel interdit, vestige d’un rituel inachevé.

La vérité éclatera enfin : Tomino n’était jamais une légende.
Et il ne s’agit pas d’un simple poème maudit… mais d’une porte vers l’Enfer.


Saison 2 – Chapitre 1 : Le Septième Anniversaire du Poème

Le 14 septembre.
Chaque année, à cette date précise, Élodie se réveillait avec une boule dans le ventre. Depuis sept ans, ce jour marquait le souvenir du cauchemar qu’elle et son frère avaient vécu dans cette vieille maison familiale. Le poème, la créature, les cicatrices… rien ne s’était effacé.

Maintenant âgée de dix-neuf ans, elle essayait de vivre normalement, mais chaque fois que cette date revenait, la peur la reprenait.

Assise à la table du petit-déjeuner, elle fixait le bol de céréales devant elle sans toucher à la cuillère. Face à elle, Julien, vingt-deux ans, paraissait calme. Trop calme. Ses yeux étaient cernés, son visage creusé. Il mâchait lentement, sans un mot, comme s’il était ailleurs.

— Tu dors mal encore ? osa demander Élodie.

Il leva les yeux vers elle. Ses prunelles semblaient… différentes. Plus sombres. Presque vides.

— Je rêve, répondit-il simplement. Toujours du même rêve.
— Lequel ? murmura-t-elle, même si elle savait déjà.
— Lui.

Un silence pesant s’abattit dans la cuisine. Les murs eux-mêmes semblaient écouter.

Élodie voulut changer de sujet, mais une odeur étrange flotta soudain dans l’air : un parfum de bois brûlé, mélangé à quelque chose de métallique. Du sang. Elle fronça les sourcils.

— Tu sens ça ?

Julien ne répondit pas. Il souriait. Un sourire qui n’était pas le sien.


La journée passa dans une tension insupportable. Leurs parents, rentrés la veille, passaient leur temps à ranger la maison, inconscients de la lourde atmosphère qui régnait. Le soir venu, ils allèrent se coucher tôt, laissant la maison silencieuse.

Élodie, seule dans sa chambre, tentait de se rassurer. Peut-être qu’elle exagérait. Peut-être que ce n’était qu’une peur d’enfant qui revenait chaque année. Elle s’allongea, ferma les yeux.

Mais dans le couloir, un bruit sec résonna. Grincement. Pas lourds.

Elle se redressa, le cœur battant. Puis un cri étouffé déchira la nuit.
Un cri venu de la chambre parentale.

Élodie sortit en trombe. Le couloir baignait dans l’ombre. La porte de la chambre de ses parents était entrouverte. Elle s’approcha, tremblante.

Là, elle le vit.

Julien. Debout, devant le lit.
Ses mains ruisselaient de sang. Le corps de leur père gisait inerte, la gorge tranchée. Leur mère, à moitié consciente, étouffait dans un dernier râle. Julien leva le couteau lentement et l’abattit dans sa poitrine, encore et encore.

Élodie étouffa un cri et recula, horrifiée. Son frère tourna alors la tête vers elle. Ses yeux n’étaient plus humains. Deux trous noirs, profonds, qui brillaient d’une lueur rougeâtre.

Il sourit, d’une voix déformée qui n’était pas la sienne :

Il est temps.

Élodie s’enfuit en courant, ses jambes tremblant sous elle. Elle se jeta dans un placard au fond du couloir, plaquant sa main contre sa bouche pour étouffer ses sanglots.

Elle entendait ses pas.
Lents. Pesants. Avançant dans le couloir.

Julien s’arrêta devant le placard. Le silence dura une éternité. Puis, contre toute attente… il repartit. La porte de sa propre chambre grinça, puis se referma.

Il était allé se coucher. Comme si rien ne s’était passé.

Élodie resta recroquevillée dans le noir, les yeux écarquillés, tremblant de tout son corps. Elle avait vu ses parents mourir. Elle avait vu son frère changer.

Elle comprit alors, dans un souffle brisé :

Tomino est revenu.


Saison 2 – Chapitre 2 : La Nuit Rouge

Le matin arriva comme un cauchemar éveillé.
Le soleil filtrait à travers les rideaux, mais la maison baignait dans un silence morbide. Les corps de leurs parents gisaient toujours sur le lit, sans vie. L’odeur métallique du sang emplissait la maison.

Élodie se tenait debout, tremblante, le téléphone à la main. Elle n’avait pas dormi. Pas osé. À peine le jour levé, elle avait composé le numéro de la police.

— Venez vite… mon frère… il… il a tué mes parents… sanglota-t-elle.

À l’autre bout du fil, la voix resta calme et posée.
— Ne bougez pas. Nous envoyons une patrouille immédiatement.

Quelques minutes plus tard, les sirènes résonnèrent dans le quartier. Les gyrophares bleus et rouges clignotaient à travers les vitres. Les policiers pénétrèrent dans la maison, armes au poing. Élodie les accueillit, tremblante, soulagée.

Julien, lui, se tenait dans le couloir, immobile. Son visage semblait vide, mais ses lèvres bougeaient doucement, murmurant des mots incompréhensibles. Comme s’il récitait quelque chose.

— Monsieur, posez vos mains sur la tête ! ordonna un agent.

Julien obéit. Sans résistance. On lui passa les menottes. Élodie laissa échapper un souffle de soulagement. Enfin, c’était fini. Enfin, elle était sauvée.

Mais au moment où les policiers l’installèrent dans la voiture, un bruit assourdissant retentit dehors.

BOUM !

La voiture de police venait d’être percutée violemment, comme si une force invisible l’avait projetée contre un mur. Le métal se plia dans un grincement atroce. Les gyrophares explosèrent dans un fracas de verre.

Élodie accourut à la fenêtre, le souffle coupé. Elle vit son frère sortir des décombres, indemne, les chaînes brisées. Ses yeux brillaient d’une lueur écarlate, inhumaine.

Il leva la tête, et hurla d’une voix déchirante, déformée, démoniaque :

ÉLODIEEEEE !!!

Ce cri n’était pas celui d’un frère. C’était l’appel d’un prédateur.

Les policiers encore debout levèrent leurs armes.
— À terre ! À terre tout de suite !

Julien tourna la tête vers eux, et son sourire s’élargit.
Il arracha l’arme des mains d’un agent d’un geste surhumain et ouvrit le feu. Les balles crépitèrent dans la rue, les vitres explosèrent, les passants hurlèrent. La scène vira au chaos absolu.

Élodie recula de la fenêtre, terrifiée. Ses jambes se dérobaient sous elle.
Julien ne se battait plus comme un homme. Il courait, bondissait, ses gestes étaient impossibles, comme s’il n’était plus humain.

Les sirènes hurlaient, les gens fuyaient dans tous les sens. Et au milieu de cette folie, une seule chose était claire : il venait pour elle.

Élodie claqua toutes les portes de la maison, barricada les fenêtres, et se réfugia à l’étage. Elle savait qu’il ne s’arrêterait pas. Pas tant qu’il ne l’aurait pas trouvée.

Dans le couloir, les pas résonnèrent.
Pesants. Lents. Inévitables.

La traque venait de commencer.


Saison 2 – Chapitre 3 : Les Notes Interdites

Élodie courait à travers la maison comme dans un labyrinthe vivant.
Chaque porte claquée derrière elle n’était qu’un mince sursis. Les pas de Julien résonnaient, lourds, irréguliers, comme si la maison elle-même amplifiait ses pas pour la piéger.

Elle se réfugia dans le bureau de son père, verrouilla la porte à double tour, et colla son oreille contre le bois. Silence. Pas un bruit. Mais elle savait qu’il était là, quelque part dans les murs, qu’il l’écoutait respirer.

En cherchant une cachette, ses yeux tombèrent sur l’ancienne bibliothèque. Une planche semblait légèrement décollée. Elle se précipita, poussa les livres, et découvrit un compartiment secret. Dedans : une boîte en bois noircie par le temps.

Ses mains tremblaient lorsqu’elle l’ouvrit.
À l’intérieur, un carnet rongé par l’humidité, couvert d’une écriture ancienne et nerveuse. Les pages sentaient le moisi et l’encre séchée.

Elle lut à voix basse, déchiffrant les lignes griffonnées :

"Tomino n’est pas une légende. Il est l’ombre de la douleur, l’enfant perdu condamné à ramper dans l’Enfer. Chaque fois que son poème est murmuré, une porte s’ouvre. Celui qui l’invite devient son hôte. Son corps n’est plus qu’une cage, sa volonté disparaît peu à peu. La seule manière de l’expulser est de briser le rituel… au prix du sang."

Élodie sentit son cœur s’arrêter. Julien n’était plus Julien.
Il était devenu l’hôte de Tomino.

Elle tourna encore les pages, plus fébrile.
Une illustration grossière représentait un grenier, avec des symboles tracés au sol, et au centre un cercle couvert de runes. Sous le dessin, une phrase :

"Le sceau de l’Enfer est scellé dans la maison des ancêtres. Mais si le cercle est rompu… Tomino sortira."

Un frisson d’horreur la traversa. Le grenier.
Le grenier de leur maison.

Un bruit sec claqua derrière la porte, la faisant sursauter. La poignée tourna. Julien était là.

Sa voix, grave, résonna de l’autre côté du bois :

— Tu as trouvé les notes, pas vrai ? … Alors tu sais ce que je suis.

Élodie plaqua sa main contre sa bouche pour retenir un sanglot.

— Mais tu ne comprends pas, continua la voix déformée. Je ne suis plus ton frère. Je suis éternel. Ouvre la porte, Élodie. Laisse-moi entrer… et tu verras.

Le bois craqua, la serrure grinça.
Elle n’avait plus le choix. Serrant le carnet contre elle, Élodie grimpa par la fenêtre et s’élança sur le toit, le cœur battant à tout rompre.

Au-dessus d’elle, le grenier l’attendait.
Et avec lui, la vérité.


Saison 2 – Chapitre 4 : Le Rituel du Grenier

Élodie grimpa l’échelle menant au grenier, le carnet serré contre sa poitrine.
Chaque barreau grinçait comme s’il allait céder, mais la peur la poussait toujours plus haut. Elle referma la trappe derrière elle et se retrouva plongée dans l’obscurité la plus totale.

Un froid glacial régnait, mordant sa peau. L’air était saturé d’une odeur de cendre et de fer. Quand ses yeux s’habituèrent à l’ombre, elle distingua les symboles tracés à même le sol poussiéreux : des cercles, des runes tordues, des marques anciennes dessinées à la craie noire.

Le carnet parlait vrai.
Le grenier était un sanctuaire… un autel interdit.

Élodie feuilleta rapidement jusqu’à la dernière page. Les mots semblaient écrits dans une panique absolue, comme si l’auteur avait gratté l’encre avec ses ongles :

"Brise le cercle. Fais couler ton sang. Alors Tomino quittera son hôte… mais attention : une fois libre, il se montrera."

Son souffle se bloqua. Elle n’avait pas le choix.

Un fracas retentit.
Julien venait d’ouvrir la trappe.

— Élodie… appela-t-il, sa voix déformée, gutturale.
— Reste loin de moi ! cria-t-elle, les larmes aux yeux.

Il se hissa dans le grenier, ses yeux écarlates brillant dans l’ombre. Sa silhouette semblait se déformer, comme si sa chair se fissurait de l’intérieur. Ses pas faisaient vibrer les planches.

Alors, Élodie bondit.
Elle ramassa une vieille barre de fer rouillée et, dans un hurlement de désespoir, brisa le cercle tracé au sol.

Un vent glacial explosa dans la pièce, projetant la poussière en tourbillons. Les symboles s’illuminèrent d’une lueur rouge sang. Julien hurla, sa voix résonnant comme mille voix entremêlées. Son corps convulsa, ses veines gonflant sous sa peau.

Puis, il tomba à genoux, vomissant un flot noirâtre qui s’étala sur le bois.

De cette masse sombre sortit une silhouette.

Un enfant.
Petit, maigre, le visage ravagé de brûlures, les orbites vides. Sa bouche immense s’étira en un sourire immonde.
Tomino.

Ses pas nus claquaient sur le bois alors qu’il s’approchait d’Élodie.

— Tu m’as libéré… souffla-t-il, sa voix aiguë et grinçante, résonnant dans sa tête.
— Tu n’existes pas… balbutia-t-elle, tremblante.
— Si. Et tu m’as offert un corps.

Julien gisait, haletant, libre mais agonisant. Il tendit une main vers sa sœur.
— Fuis… Élodie… fuis !

Mais Tomino leva la sienne. Les griffures apparurent à nouveau sur la peau d’Élodie, brûlantes, comme si des lames invisibles la lacéraient. Elle tomba à genoux, hurlant de douleur.

Elle se rappela alors une phrase du carnet : "Le prix du sang."

Sans réfléchir, elle planta ses ongles dans sa paume et laissa couler son sang sur le bois du cercle brisé. Le sang se mit à bouillonner, traçant de nouvelles lignes écarlates sur le sol.

Tomino recula, ses orbites vides fixant le cercle comme s’il brûlait.
— NON… TU N’AS PAS LE DROIT !

Un hurlement déchirant secoua la maison. Les murs vibrèrent, les poutres craquèrent comme si la maison allait s’écrouler. Tomino fut aspiré dans le cercle, ses cris résonnant dans chaque recoin, jusqu’à disparaître dans un silence brutal.

Le grenier retomba dans l’obscurité.

Élodie, épuisée, tomba à genoux près de Julien. Son frère respirait encore, mais son regard était vide, traumatisé. Il n’était plus possédé. Mais il n’était plus le même non plus.

Le carnet glissa de ses mains. Ses dernières lignes semblaient briller dans l’ombre, comme si elles venaient d’être écrites :

"Le cercle peut être brisé. Mais Tomino… ne disparaît jamais."

Élodie serra les dents, des larmes brouillant sa vue.
Elle osa à peine regarder son frère, car une pensée terrible lui traversa l’esprit.

Et si tout cela n’était pas terminé ?
Et si, en vérité… ils ne s’étaient jamais réveillés de l’Enfer ?

Quelque jours plus tard Julien fut arrêté, jugé, et enfermé pour toujours derrière les barreaux.
Il ne parla jamais de Tomino aux enquêteurs, mais une semaine avant son transfert dans un asile, il envoya une lettre à sa sœur :

"Élodie… Je sens qu’il est encore là. La nuit, il chuchote ton prénom. Je crois qu’il n’a jamais quitté cette maison… et qu’il m’attend."

La lettre s’achevait par une seule phrase, griffonnée à l’encre noire comme une menace ou une prophétie :

« Tomino ne dort jamais. »


✨ Merci d’avoir lu.

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je reprendrais 3 sujet fou comme dans wtc fini les histoire d'horreur pour le moment je suis néanmoins sur l'écriture dune histoire d'un mime tueur a scotland yard en 1829

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Commentaires

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