pour cette histoire je doit vous avouez que je lai intégralement inventer limage colle parfaitement mdr le nom etais deja sur limage de base pour être honnête Dou l'idée de crée une histoire a partir de cette image voir une creepypasta mdr j'hésite a publier sa sur redit
🕯️ Synopsis : "Tomino’s Hell"
Deux enfants, un frère et une sœur, passent quelques nuits seuls dans l’ancienne maison familiale pendant que leurs parents sont en vacances. Loin d’être rassurés par les craquements du bois et le silence pesant, ils se tiennent compagnie en se racontant des histoires avant de dormir. Une nuit, la sœur évoque une légende interdite : "L’Enfer de Tomino", un poème maudit qui attire la mort et les esprits quand on le récite à voix haute.
Au début, ce n’est qu’un jeu, une histoire pour se faire peur… jusqu’à ce qu’ils l’entendent.
Chapitre 1 – La Légende de Tomino
La maison était vide.
Les parents étaient partis en vacances depuis deux jours, laissant la grande bâtisse grinçante à leurs deux enfants. Julien, l’aîné de quinze ans, et sa petite sœur Élodie, douze ans, avaient promis de se tenir tranquilles. Mais la nuit, les choses changeaient. Chaque craquement du parquet, chaque souffle du vent dans les volets, prenait des allures de murmures menaçants.
Ils dormaient dans la même chambre pour se rassurer, deux matelas côte à côte, avec seulement la lumière d’une petite lampe de chevet pour repousser l’ombre. Dehors, le jardin plongeait dans un noir total.
— Tu dors ? demanda Élodie d’une voix basse.
— Non… répondit Julien, les yeux fixés au plafond.
Elle se tourna vers lui, les yeux brillants d’excitation et de peur.
— Tu veux que je te raconte une histoire ? Une vraie légende, un truc horrible ?
Julien haussa les épaules, mais en réalité, il adorait ça.
— Vas-y. Mais fais gaffe, si c’est nul, je me rendors.
Élodie inspira profondément, comme si elle hésitait avant de révéler un secret.
— Tu connais l’Enfer de Tomino ?
Le nom claqua dans la pièce, lourd, sinistre. Julien fronça les sourcils.
— C’est quoi ce délire ?
— C’est un poème… mais pas un poème normal. On dit que si tu le lis à voix haute, une malédiction s’abat sur toi. Tu ne meurs pas tout de suite… non. C’est pire. Quelque chose vient te chercher. Une créature.
Julien se redressa un peu sur son matelas, intrigué malgré lui.
— Et elle fait quoi, ta créature ?
— Elle regarde, d’abord. Elle se cache dans le noir. Derrière les murs, sous ton lit, dans les miroirs… Elle attend que tu sois seul, ou que tu aies peur. Et puis, la nuit, elle entre dans ta chambre.
Un silence glacé s’installa. Même la lampe semblait faiblir.
Julien ricana nerveusement.
— C’est débile, ton truc. C’est juste une histoire d’horreur inventée sur Internet.
Mais son ton manquait de conviction. Élodie, elle, avait les yeux grands ouverts, comme hypnotisée par ce qu’elle racontait.
— J’ai lu que certains… disparaissaient après l’avoir récité. D’autres se réveillaient avec des marques, comme si quelqu’un les avait griffés pendant leur sommeil. Et parfois… ils se réveillaient plus du tout.
Julien avala sa salive.
— Tu l’as lu, toi ?
— Non… jamais. Faut pas. Mais… tu veux que je te dise un truc ?
Sa voix se fit si basse qu’il dut tendre l’oreille.
— Parfois… je crois que je l’entends.
Julien se mit à rire pour briser le malaise.
— Tu racontes n’importe quoi.
Mais au même moment, un bruit sec résonna dans la maison. Toc. Toc. Toc.
Trois coups, étouffés, venant du couloir.
Les deux enfants se figèrent.
— Tu as entendu ? chuchota Élodie.
— Ouais…
Le silence revint, encore plus pesant. Le cœur de Julien battait si fort qu’il avait l’impression qu’on pouvait l’entendre.
Il se força à sourire.
— C’est le bois qui travaille. C’est tout.
Mais au fond de lui, il savait que le bruit était trop net. Trop intentionnel. Comme si quelqu’un… ou quelque chose… avait frappé.
La lampe grésilla une seconde, projetant des ombres mouvantes sur les murs.
Et ce fut Élodie qui murmura la dernière phrase avant de fermer les yeux, terrifiée :
— Il nous a entendus…
Chapitre 2 – Le Réveil dans la Nuit
La maison s’était plongée dans un silence pesant.
Après l’histoire d’Élodie, ni elle ni Julien n’avaient trouvé le sommeil facilement. Mais à force de lutter, leurs paupières s’étaient fermées.
Jusqu’à ce que Julien se réveille en sursaut.
Il ouvrit les yeux dans une obscurité totale : la lampe de chevet était éteinte. Il ne se souvenait pas de l’avoir éteinte. Le silence, d’abord complet, fut brisé par un bruit sourd.
Boum… boum… boum…
Des pas. Lents. Lourds. Qui résonnaient dans le couloir.
Il essaya d’appeler sa sœur, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Sa gorge était bloquée, comme si une main invisible l’étranglait doucement. Ses bras, ses jambes… impossible de les bouger. Il était cloué à son matelas.
C’est alors qu’il entendit la respiration.
Un souffle rauque, grave, régulier. Pas celui d’Élodie. Pas le sien non plus. Non… ça venait de derrière la porte.
La poignée commença à tourner, lentement, grinçant dans la nuit.
Un gémissement étouffé retentit : Élodie. Elle aussi était réveillée, incapable de crier, les yeux écarquillés dans l’ombre. Julien croisa son regard, et il sut qu’elle voyait la même chose que lui.
La porte s’entrouvrit.
Quelque chose entra.
Une silhouette. Grande, maigre, à la peau rouge sombre comme brûlée. Ses orbites vides semblaient avaler la lumière. Sa bouche, immense, formait un sourire figé, rempli de dents noires et irrégulières. Elle avançait en traînant des griffes longues comme des lames, raclant le parquet.
Grchhh… grchhh… grchhh…
La créature s’arrêta entre les deux matelas. Elle se pencha, lentement, et ses yeux vides se fixèrent sur eux. Puis, une voix s’éleva. Pas une voix humaine. Grave. Caverneuse. Comme si elle résonnait directement dans leur crâne.
Elle commença à réciter.
Un poème.
Des mots incompréhensibles, mais que leurs corps reconnaissaient, gravés dans leur mémoire. C’était le poème de Tomino. Chaque syllabe résonnait comme un coup de couteau, glaçant leurs os.
Julien voulut fermer les yeux. Impossible.
Élodie pleurait en silence, son corps tremblant sous l’emprise d’une terreur absolue.
La créature se redressa, puis rampa sur le matelas de Julien. Son visage à quelques centimètres du sien. Son odeur était insupportable : un mélange de chair brûlée et de terre humide.
Puis, elle posa ses griffes sur son torse. Lentement.
La douleur explosa. Comme si la peau se déchirait toute seule, sans qu’il puisse crier.
Au même moment, Élodie sentit les mêmes griffes invisibles lacérer son bras. Le sang coula.
Mais pas un son ne sortit de leur bouche. Ils étaient prisonniers de leurs corps, forcés de subir.
La créature se remit debout, la tête penchée de côté, comme si elle les observait avec curiosité. Et dans un murmure glacial, elle dit :
— Maintenant, vous m’appartenez.
La lumière s’éteignit complètement.
Le noir total.
Puis, plus rien.
Chapitre 3 – Les Cicatrices du Cauchemar
Le soleil filtrait à travers les rideaux.
Julien ouvrit les yeux d’un coup, trempé de sueur. La chambre était calme, la lampe rallumée, et les oiseaux chantaient au-dehors. Un rêve. Ça n’avait été qu’un cauchemar…
Il se redressa, tremblant, encore prisonnier de cette terreur glaciale. Son premier réflexe fut de tourner la tête vers Élodie. Elle dormait toujours, roulée en boule sur son matelas. Il s’approcha et la secoua doucement.
— Hé… réveille-toi.
Elle ouvrit les yeux d’un coup, paniquée, haletante. Ses lèvres tremblaient.
— Tu… tu l’as vu, toi aussi ?
Le sang de Julien se glaça. Elle avait rêvé de la même chose. Exactement la même chose. La silhouette, la voix, le poème. Tout.
Ils se regardèrent, sans un mot. Puis Élodie baissa lentement les yeux vers son bras.
Julien crut défaillir.
Sur sa peau blanche, des griffures rouges s’étendaient du poignet jusqu’à l’épaule. Pas des égratignures de sommeil. Des entailles nettes, profondes, encore suintantes.
— Ce… ce n’est pas possible… balbutia-t-il.
D’un geste tremblant, il releva son propre tee-shirt. Son torse portait les mêmes marques. Des lignes sanglantes, organisées, comme si quelqu’un avait écrit avec des lames.
Les deux enfants restèrent figés, horrifiés.
— Ce n’était pas un rêve, murmura Élodie, les yeux embués de larmes.
Julien voulut répondre, mais sa gorge se serra. Parce qu’au même moment, il remarqua autre chose. Sur le mur, au-dessus de leurs matelas, quelque chose avait été griffé dans le bois. Des mots. Des lettres tordues, irrégulières.
Ils lurent en silence.
C’était un vers du poème de Tomino.
Un frisson glacial traversa la pièce.
Les enfants se serrèrent l’un contre l’autre, terrorisés. Ils n’osaient plus parler. Pas un bruit, pas un mouvement. Comme si respirer trop fort pouvait réveiller… ce qui les observait encore.
Et si ce n’était pas fini ?
Et si, en réalité, ils ne s’étaient jamais vraiment réveillés ?
Et si tout cela… était bien réel ?
des idée pas normal et es histoire me passe par la tète la nuit je suis peut être mongole mdr ou un futur tueur en série ou juste un type chill mais une chose et sur [ sujet 43 et vraiment étrange ]
                                        
                
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